- Édimbourg, la ville royale
- Les Cairngorns
- Les Highlands
- Les îles Hébrides
- L’Ecosse des Highlands à la plage (ou presque)
Après la Namibie et une année passée en France, nous avions envie de repartir à la découverte de notre beau monde. Et cette fois-ci pas trop loin, mais dans les contrées du nord de l’Europe : les choix possibles était l’Ecosse, l’Irlande ou la Norvège. Aux vues du titre, vous aurez donc compris qu’elle fut notre décision. Pas trop loin parce que nous avions comme challenge de faire sortir ma mère de son Alsace.
Après deux heures de vol et autant d’attente, nous arrivons ENFIN à Edimbourg.
Bien que préparé méticuleusement, le voyage est sommes toutes assez basiques : Edimbourgh, les highlands (au moins une partie), les îles Hespérides (Skye et Mull) et puis retour à la maison.
Allez, en voiture Simone ! (A gauche ! A gauche!) C’est moi qui conduit, c’est toi qui klaxonne (mais pas trop ici !)

Les Ecossais ? Adorables, vraiment. A ma connaissance, c’est l’un des peuples européens les plus gentils et courtois qui soit. Paraîtrait il qu’ils aient une affinité avec les français et qu’ils nous apprécieraient particulièrement (euh… ça fait bizzare d’écrire ça parce qu’en général, c’est vraiment pas le cas, et pour cause…)
Ce qu’on mange et boit ?
Du haggis – panse de brebis farcie – est un mélange de viande de mouton, d’abat et d’avoine. Moi ça m’a un peu rappelé les quenelles de foie alsaciennes (les succulents lewerkneplfe). Donc du haggis à toutes les sauces presque : en version intégrale à trancher, en burger, en quenelle apéritive. En vrai, c’est assez bon.
Du poisson et surtout du saumon, bien sûr puisqu’il y a énormément de fjords ici. Et puis du fish and chip, ultra frais et croustillant.
Pour la boisson, à part quelques restaurants où en bons français, nous avons pris un verre de vin, c’est globalement de la bière et particulièrement de la Pale Ale, bière blonde modérément amer et pas trop forte que nous avons goulument apprécié.
Sinon, on parle du Whisky ? Le fameux SCOTCH whisky. Les voyages sont toujours l’occasion pour moi de découvrir et d’apprendre sur les spécialités locales.
Donc je me suis donnée corps et âme à la découverte du whisky et chaque soir, méthodiquement, religieusement, presqu’extatiquement (ne cherchez pas, ce mot n’existe pas, mais je viens bien de l’écrire, donc il existe. Dédicace pour mon ami Laurent) nous dégustions, dégustions et dégustions du whisky pour découvrir ce pays à ses whiskys.
Ainsi, nous avons fini par identifié celui que nous préférons : le Talisker – 10 years de l’ile de Skye (en haut à gauche).

A un moment, une visite s’imposait.

Je vous fais grâce des explications mais grosso modo, on produit une bière avec de l’orge malté:

Cette espèce de bière est ensuite distillée (pour un scotch se sont des alambics géants) et voilà le whisky.

Donc oui, le scotch single malt, c’est very good.
A force de me documenter sur le sujet, j’ai découvert qu’il y avait uniquement 4 labels européens « Indication Géographique » pour les whisky dans toute l’Union.
Bien sûr il y a l’Ecosse et l’Irlande (ça en fait 2, et ça devait être avant le BREXIT), puis le whisky bretons et enfin… tenez vous bien, le whisky alsacien. Sachant qu’il y a maximum une quinzaine de distilleries en Alsace comparée aux centaines, voire milliers, en Ecosse, avouez, c’est quand même une bonne blague, non ?
Et le temps dans tout ça ?
Euh… humide globalement. Après vérification, effectivement, juillet et août sont davantages pluvieux que septembre par exemple. (Ce que je veux bien croire quand je vois les photos splendides de mon ami Samuel).
En dehors de Skye où on s’est fait rincé et où on s’est gelés les miches, globalement, on avait un peu de tout dans la journée: une ondée par ci, un grand ciel bleu par là, des nuages, du vents, etc.
Température clémente sans être chaude (maximum atteint à Oban : 26°C).
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