Les Pays-Bas, pays plats

Quelques jours hors des murs de Paris pour découvrir les Pays-Bas.

Les villes

Evidemment, quand on pense aux villes des Pays-Bas, on pense à… Amsterdam. C’est vrai, cette ville est superbe. J’y suis déjà allé 3 fois et j’aime toujours autant. Mais là, j’ai envie de vous faire découvrir un vrai coup de coeur oublié des touristes : Utrecht.

Comme beaucoup de villes néerlandaises, Utrecht est une ville d’eau, cernée de canaux que bordent de vieilles maisons typiques des flandres. D’ailleurs, il y a un vrai air de famille avec Bruges ou Gand.

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Vous pourrez aussi passer une belle soirée à Amersfoort, jolie petite ville à un saut de puce d’Utrecht.

En Zélande, il y a aussi la petite ville de Mindelburg, mais on n’a pas eu très beau temps…

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Les plages de Zélande

Oui, vous ne rêvez pas, il ne manque pas un « nouvelle » devant Zélande. Et d’ailleurs, s’il existe une Nouvelle-Zélande, c’est bien qu’il existe une « Vieille-Zélande », laquelle est une province des Pays-Bas. Alors, en français, ça ne veut rien dire Zélande mais en néerlandais c’est le pays de la mer (Zeeland -> See – land). Donc il y a des plages partout puisque ce n’est qu’un enchainement d’iles, ilots, péninsules, etc.

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Et les moulins ?

C’est un secret pour personne, les Pays-Bas, c’est plat et il y a la mer partout, donc il y a du vent, beaucoup de vent. On en prend – pour ainsi dire – plein les yeux. Mais de fait, c’est le pays des moulins (anciens ou modernes).

A Kinderdijk, vous pourrez voir un paysage typique de la Hollande du XVIIe siècle.

 

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Et puis, il y a les moulins modernes : géants ici.

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Le plat pays…

Faut bien dire la vérité, ce pays est plat, plat, plat. Les digues doivent être les sommets du paysage. Pour nous français, c’est sûr qu’on n’a pas l’habitude. Avoir un paysage si plat, ça doit forger un type de caractère.

On se rend compte à quel point notre pays – avec ces visages multiples et pleins de contrastes – est beau.

Comparativement à la Belgique, j’ai ressenti moins de chaleur venant de la population. C’est une impression diffuse mais on ne se sent pas vraiment bienvenu.

En fait, j’ai été très heureux de repasser la frontière dans l’autre sens. (faut dire que la pluie diluvienne n’a pas aidé).

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