Pas tellement de chose à ajouter à ce titre, tant le nom du volcan est mythique par lui-même.
Fini le bord de mer, les Trattoria, et les pâtes aux fruits de mer, voilà un visage complètement différent de la Sicile celui de l’Etna.
Le mont Etna forme un ensemble volcanique d’une centaine de cratères qui s’étend jusqu’à Catane.
De loin, nous pouvons voir les fumerolles s’échapper, visiblement l’Etna est en activité. La visite semble prometteuse.
Bien sûr, il y a le sommet (d’ailleurs, les sommets, puisqu’ils sont deux) en forme de cratère, mais c’est un paysage volcanique complet avec une multitude de cratères, souvenirs d’autant d’éruptions. Le tout au pied de Catane…
À 1800 m, nous prenons des « œufs » qui nous permettent de monter à 2500 m.
De là, c’est randonnée jusqu’au sommet, pour les plus braves.
En ce qui me concerne, je me suis arrêté à 2700 m, nous n’avions guère plus le temps d’aller vraiment beaucoup plus haut.
Le paysage est lunaire, désertique et austère.
Comme pour le champs de geysers d’El Tatio au Chili, ça glougloute un peu de tous les côtés.
Mais là en plus, ça gronde, et ça gronde même sacrément par certains moments. En vrai, je ne suis pas plus rassuré que ça…
C’est vraiment un visage très différent de ce que nous avons déjà vu de la Sicile. On a du mal à imaginer plus différent en fait, il manquerait que un glacier…
Cette dernière étape clot notre séjour (trop court) en Sicile.
Sur l’article principal, je concluerais avec mes impressions générales mais en tous cas, ne passer PAS à côté de l’Etna !!!
